lundi 15 octobre 2012

DROIT DE REPONSE

La société VIVALDI ENVIRONNEMENT a été profondément indignée par l’article intitulé « Plaintes contre l’entreprise de panneaux photovoltaïques » paru dans l’édition du 8 octobre 2012 qui la présente dans des termes extrêmement négatifs ne reflétant pas la réalité.

En effet, cette société a été créée en janvier 1983, n’a jamais fait l’objet de la moindre condamnation pour des faits tels que relatés dans l’article litigieux.

Et pour cause, cette société qui commercialise des installations photovoltaïques, sélectionne rigoureusement les meilleurs produits existant sur le marché. De même que le réseau d’installateurs auquel elle fait appel est composé de professionnels qualifiés disposant de certifications reconnues (Quali PV).

S’il existe une insatisfaction de la part des clients, elle provient la plupart du temps des modifications apportées aux dispositifs d’aide et aux mesures fiscales relatives aux énergies renouvelables que les gouvernements successifs modifient sans cesse et sans préavis.

Pour comprendre, il suffit de rappeler que :

•   En octobre 2010, avec effet rétroactif au mois précédent, la loi de finance rectificative a divisé par deux le taux du crédit d’impôts accordé aux particuliers qui ont fait le choix de l’investissement photovoltaïque (22% au lieu de 50%).

•   En novembre 2010, avec l’institution de la NOME (Nouvelle Organisation des Marchés de l’Electricité), les coûts de raccordement des installations des particuliers ont été multipliés par 3.

•   Alors qu’il existait un taux fixe de rachat de 0.58 cts/kWc, l’arrêté en date du 4 mars 2011, programme une baisse trimestrielle du prix de rachat par EDF de l’électricité produite par les installations photovoltaïques (- 40% entre septembre 2010 et septembre 2012).

Concernant le « témoignage de Noémie », la société le conteste fermement et tient à rappeler que tous les clients particuliers bénéficient d’un droit de rétractation de 7 jours ouvrés (Loi Scrivener) qui leur permet de se renseigner plus avant sur leur projet et de l’annuler s’ils l’estiment non-conforme à leurs attentes.

De même, lorsqu’ils recourent à un financement, les clients souscrivent une offre de crédit les informant de l’ensemble des conditions financières de leur acquisition. Et là encore, ils bénéficient d’un droit irrévocable de rétractation de 14 jours.

Quant à la production d’énergie photovoltaïque, celle-ci dépend évidemment de l’ensoleillement. Il existe donc une part d’aléa, raison pour laquelle il ne peut être garanti de volume de production ou de rendement, ce que les conditions générales de vente de la société VIVALDI ENVIRONNEMENT rappellent très clairement.

Il existe néanmoins, des outils de mesure permettant d’évaluer une production que tout un chacun peut trouver sur Internet (ex : PVGIS).

Ainsi, contrairement à ses affirmations calomnieuses, « Noémie », s’est engagée en connaissance de cause et la comparaison qu’elle opère avec le coût d’un matériel bas de gamme démontre sa mauvaise foi. Quant à l’engagement prétendument « non respecté » de procéder à un virement de 800€ au titre de participation au frais de raccordement, Noémie omet de révéler qu’elle a refusé le raccordement par EDF (nous transmettons à la Rédaction du Journal la demande d’abandon de son projet).

Depuis qu’elle commercialise des panneaux photovoltaïques, la société Vivaldi Environnement a enregistré un nombre de plaintes extrêmement résiduel, dont la plupart ont été résolues amiablement. Seule une dizaine de cas restant en cours de traitement.

Il en résulte un taux d’insatisfaction inférieur à 0.5% que beaucoup d’entreprises rêveraient d’atteindre. Dans ces conditions, la société VIVALDI ENVIRONNEMENT dénonce cette campagne de dénigrement manifestement orchestrée dans le but de ternir son image.